Nos vies limitrophes...
... nos désirs de paix. Quelques zones franches bien délimitées...
chantait-elle.
Et
bien voilà, c'est fait. L'art de faire du neuf avec du vieux. L'art de
faire sa vie, l'opportunité incroyable de refaire sa vie, et faire la
nique à Kundera : nos vies ne sont pas des brouillons.
Il a fallu beaucoup de lettres de ce temps-là jusqu'à ce post.
- Une lettre de dém' à l'E.N. ;
- Une lettre de rupture ;
- Pas mal de fins de non recevoir avec des personnes jadis essentielles, aujourd'hui jugées délétères. Sélectionner.
- Et les questionnements de ce soir, qui sont arrivés par téléphone, puis par imprégnation, jusqu'à se dire : "faut que je pose les mots. Les mots justes".
Il
a fallu aussi fermer des pages web. La face publique de l'ancien blog
volontairement fermée, la face cachée involontairement scratchée par
les bons soins de Free. Vont m'entendre ceux-là...
On avancera
lentement. On avancera, certes, mais lentement. Donc, contrairement à
l'année (riche !) qui vient de s'écouler, pas de belles photos de prime
abord. Pas de musique non plus, pas tout de suite.
Mais surtout, plus de dolorisme exacerbé. Je reprends le commandement pour la suite de l'odyssée.